Ai3 et dydu lancent le premier chatbot qui accompagne les collaborateurs dans la prise en main et la maîtrise de leur environnement de travail Microsoft. Une difficulté avec Outlook ? Besoin d’aide sur Excel ? Toujours disponible, le chatbot répond aux questions des collaborateurs sur de nombreux outils de la suite Microsoft : PowerPoint, OneNote, Windows 10, OneDrive, Teams, Planner, Forms, SharePoint, Stream, Kaizala, Yammer…
Les bénéfices de ce chatbot sont doubles : le collaborateur a immédiatement accès à l’information recherchée, et dispose d’une base de connaissance régulièrement mise à jour par Ai3. L’entreprise, elle, favorise l’utilisation du self-service par ses collaborateurs, et diminue ainsi le nombre de demandes vers le support informatique. Ce dernier, moins pollué par des questions récurrentes, peut se concentrer à la résolution de tâches plus complexes et valorisantes.
“En tant que partenaire majeur de Microsoft en France, nous travaillons sur des offres et des services qui couvrent d’une façon exhaustive l’ensemble des besoins de l’entreprise” dit Xavier Raymond, directeur général d’Ai3. “Avec l’essor du traitement du langage naturel, il nous semblait cohérent de proposer un chatbot pour accompagner les collaborateurs de toute entreprise dans leur prise en main des outils de collaboration et de productivité de la suite Microsoft. Pour ce faire, nous nous appuyons sur la technologie dydu, l’une des plus abouties sur le marché, pour proposer un contenu de qualité avec des mises à jour régulières pour nos clients.”
“Lors de la mise en place d’un chatbot, le plus gros challenge, c’est le contenu qu’il faut générer pour pouvoir entraîner le chatbot” affirme Cyril Texier, co-fondateur de dydu. « Le principal bénéfice de cette nouvelle offre, c’est qu’Ai3, fort de son expérience de la suite Microsoft, a déjà produit tout le contenu nécessaire pour que les clients n’aient qu’à déployer ce chatbot en interne et qu’il soit immédiatement opérationnel. Il est également possible d’acheter cette base de connaissances, et de l’importer dans un chatbot existant.”